PROJETS DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE

EN NOUVELLE-AQUITAINE
– Le taux de pauvreté (13,5%) est plus faible qu’en France métropolitaine (14,5%). Au sein de la région, il est plus important dans la zone Est.
– Ces signes de fragilité dans le secteur du commerce le sont également en matière de logement et d’équipement (groupes scolaires).

LES ACTIONS DE L’EPF POUR RÉPONDRE A CES ENJEUX :

– L’EPF participe au maintien d’activité économique au sein de ses territoires d’intervention. A Azay Brulé (79), l’EPF a conventionné avec la Communauté de Commune du Haut Val de Sèvre permettant à une entreprise de poursuivre son développement dans de nouveaux locaux tout en conservant les emplois sur le territoire. Sans l’intervention de l’EPF en soutien de la collectivité, l’entreprise aurait opéré une nouvelle implantation dans une zone d’activité péri-urbaine, provoquant une perte d’emploi non négligeable pour le territoire.
– A la Rochefoucauld (16), l’EPF intervient au sein d’un ancien site industriel datant du début du XXe siècle. En acquérant une partie du site, l’EPF contribue à maintenir deux entreprises spécialisées dans le textile automobile totalisant près de 50 emplois. L’ambition est de permettre l’accueille à moyen et long termes, d’autres entreprises issues de la même filière, source de plus-value pour le territoire.
– En matière de lutte contre la vacance commerciale, la ville de Niort et l’EPF ont engagé une opération ambitieuse de renouvellement urbain dans son centre-ville afin d’intervenir sur des sites stratégiques, entièrement ou en partie dégradés, suscitant une dynamique d’ensemble. Une fois la maîtrise foncière achevée, l’EPF a cédé en 2014 l’ensemble du foncier à un promoteur, retenue par la ville, pour un projet d’installation d’une grande enseigne commerciale.
– Toujours en matière de revitalisation de centre-bourg, l’EPF accompagne la commune d’Oiron (79) afin de maintenir et renouveler une supérette implantée en centre-bourg. Après l’acquisition et la démolition du bien, l’EPF rétrocédera le foncier à la Mairie qui pourra reconstruire le bâtiment et mettre à disposition un nouveau local commercial accueillant la supérette. En plus de maintenir le tissu économique et social du centre-bourg, cette intervention évite l’implantation d’un nouveau supermarché en zone péri-urbaine.